DES REFLEXIONS SUR LA PARTICIPATION SOCIALE.

 

 

Par: Abel Pérez Rojas [1] 

 

Introduction.

 

 

 

La participation sociale a été un concept qui aujourd'hui a touché à tout le monde avec une spéciale importance, pas seulement dans le milieu académique, si non principalement comme une partie des programmes de gouvernement dans presque tout le monde.

 

 

 

Cependant d'être en bogue, la participation sociale est fréquemment vue seulement comme un mécanisme pour des fins concrètes, en conséquence on a le risque de banaliser le concept.

 

 

 

La participation comme une partie du processus historique de l'homme.

 

 

 

Il peut sembler que parler de la participation des individus dans ses modalités multiples, c'est de le faire d'un mort ou de quelque chose qui n'a pas de sens; on peut aussi représenter qu'une autre pièce est plus d'un discours politique duquel il faut être vigilant, surtout dans ces temps dans lesquels les hommes politiques sont considérés comme synonymes de corruption. Après avoir fait un parcours rapide par Internet en cherchant des endroits reliés à la participation, on pourra s'apercevoir qu'ils existent une infinité de travaux provenant de l'académie, les organismes publics, privés, les investigations particulières, les nouvelles contiguës, etc...; que les contenus sont si étendus et divergents entre eux, que sûrement une vie n'atteindrait pas pour les analyser, puisque chaque jour augmente le nombre de matériels. L'antérieur peut nous donner l'idée de la grandeur d'un sujet qui déjà il y a un temps a fait son apparition dans la scène intellectuelle et qui ne laissera pas sûrement les espaces gagnés durant le bon temps; pour tel motif il vaut la peine d'explorer certains des arêtes et les inquiétudes qui ont surgi en préparant les contenus de ce travail et comme partie des études réalisées dans les sujets: « Cadre légal de la participation sociale » et des « Formes légales de la participation sociale », bien que comme je l'ai dit il peut paraître devant quelques uns comme un effort superflu, peu applicable, presque démagogique pour les autres.

 

 

 

La participation comme partie du processus historique de l'homme.

 

 

 

Il est fréquent d'analyser de divers topiques outre de contexte, surtout quand l'exercice intellectuel les a développés aux niveaux de haute complexité, par cela il est nécessaire de revenir à reprendre ses fontaines pour pouvoir apprécier d'une manière objective le présent et l'avenir.

 

 

 

Encore par divergents qui sont, presque toutes écoles de la pensée coïncident à désigner la qualité de l'homme pour vivre dans une société, en plus on ne peut pas concevoir l'homme comme tel, sans cette capacité qui a de se rattacher aux autres de la même espèce, Au long du procès historique on a pu observer que l'homme est déjà dans la caverne ou dans les palais il s'est joint avec les autres semblables pour tirer au sort les problèmes de la vie quotidienne, cette organisation s'est transformée en forme directement proportionnelle au développe de nos fonctionnalités, en répondant premièrement à notre instinct et spontanéité, par la suite à notre intellect. Les grandes constructions de l'antiquité sont le résultat de l'ensemble de facteurs qui ont conflué, entre lesquels on peut évidemment inclure à la participation sociale, motivée par des éléments religieux, civils, militaires et économiques.

 

 

 

 


 

Dans les groupes sociaux se sont toujours faits remarquer, par son caractère, la force physique ou l’intelligence, les leaders qui ont pris la tête des actions dans l'ensemble, ils ont été les promoteurs ou gérants naturels de la participation sociale; Ils n'ont pas toujours eu une formation académique, telle que on peut l'observer que la sage-femme, le prêtre, le vieillard, le guérisseur: ils se trouvent entre ceux-ci, c'est quelque chose que nous ne devons pas ignorer ceux que nous trouvons insérés avec la participation sociale, si ces personnages sont observés on trouvera qu'ils ont des caractéristiques communes :

 

 

 

Ø La capacité d'établir un dialogue.

 

Ø La prises des décisions aux moments dans de difficiles.

 

Ø Générer de la confiance aux ses interlocuteurs.

 

Ø La capacité d'établir des scènes.

 

Ø Le "monsieur de commandement" ou la qualité de maniement de groupes.

 

 

 

Bien que la certitude de l'avenir n'existe pas complètement, en analysant le développement de la participation sociale dans le présent et le passé, on peut déduire que celle-ci continuera à se présenter dans l'avenir, par exemple chaque fois il est plus fréquent de trouver des travaux dans ceux qui se rattachent la terminologie et les progressions des sciences exactes et de la technologie dans l'étude des phénomènes sociaux, tels l'informatique comme langage symbolique nous permet de la réfléchir dans la réalité.

 

 

 

Dans l'enceinte juridique, concrètement dans notre pays, nous pouvons observer l'insertion dans le texte constitutionnel et dans les lois réglementaires de formes qui promeuvent la participation sociale, cependant, déjà des antécédents très lointains existent dans toutes les parties du monde, comme ces formes indirectes qui promouvaient la manutention des armées, l'inscription dans le même, la participation dans les conseils, les assemblées, la subsistance de chemins, l'accumulation d'eau et le magasinage d'aliments.

 

 

 

La participation sociale comme un processus de formation permanente.

 

 

 

Dans l'âge moderne "Jusqu'à il y a peu d'années, l'éducation était vue comme un processus qui devait se faire dans les premières années de la vie à l'intérieur d'une école", cependant le développement technologique et les évidences scientifiques des capacités cérébrales presque illimitées nous ont amené à tracer un nouveau paradigme éducatif.

 

 

 

Il existent les apprentissages qui n'ont pas été acquis dans les salles scolaires, la capacité de dialoguer, l'élaboration d'aliments, la formation des enfants, affronter l'adversité, ils sont seulement, quelques échantillons dont l'homme apprend à chaque instant de tout, jusqu'au dernier moment de sa vie.

 

 

 

Quand il est organisé pour résoudre sa quotidienneté et dans une compagnie de ses semblables il commence des actions pour améliorer son environnement, il apprend à dialoguer, à travailler en équipe, à planer ou dans un cas contrarié à comment "les choses ne doivent pas être faites". On peut déduire que, après avoir avancé dans ce processus dialectique, l'homme se transforme et transforme tout, quand on dit que tout est comme ça : tout, parce qu'il part d'une vision holistique - systémique, après avoir changé sa perception comme consommateur, il se transformera aussi en enceinte familière, en éducatif, dans de travail et j'ai pris racine successivement, par cela il est désirable qu'il participe à différentes organisations formelles et peu sérieuses, parce que le cadre référentiel de chacune d'elles lui permettra de réfléchir et d'apprendre des scènes distinctes que les quotidiens enrichiront.

 

 

 

Dans la mesure dans laquelle l'individu s'aperçoit de l'importance de réaliser les actions qui améliorent son environnement, il est vu dans la pertinence de l'asseoir dans les documents qui vont régir son agi, il y ai ici un aspect qui est relatif au cadre légal et la participation sociale; les experts en lois sont un facteur important pour qu'une société dispose avec des normes actualisées et modernes, mais une société qui est active, vivante qui propose qui appuie et exige les autres et à soi elle sera déterminant pour compter sur de justes normes actuelles et équitables pour une vie en commun pacifique et harmonique.

 


 

 

 

 

Par ailleurs une société dans un échange et une évolution constants, génère de nouvelles conditions, les circonstances, qui doivent être analysées et être réglées par le législateur ce qui permet la progression de la norme juridique, de la situation dans de nouveaux terrains du droit, par exemple il y a trente ans la littérature sur le droit informatique était presque nulle, aujourd'hui c'est l'une des aires qui avance, parce que les sociétés l'ont suggéré avec leurs découvertes technologiques et les relations qui ont pour base les mêmes.

 

 

 

Le double jeu de la participation sociale.

 

 

 

Comme on a analysé dans le travail présent, la participation sociale c'est un chemin pour que les actuelles générations s'approprient en partie à leur avenir, qui est quelque chose de désirable pour la création de nouvelles scènes d'apprentissage; que comme une pensée très réussie le dit : « Personne n'est meilleure que tous ensemble », auquel j'ajoute : « Personne n'est meilleure que tous ensemble ... en travaillant pour une vision partagée, qui promeut de meilleurs niveaux de vie, le développement harmonique des hommes, la solidarité, le respect pour l' environnement et abat l' injustice et l' ignorance ». Cependant, l'actuelle supériorité du néolibéralisme dans le monde range à la participation sociale à se convertir seulement en un palliatif, mais pas comme une solution généralisable ni d'un fond.

 

 

 

Postérieur à la Seconde Guerre mondiale sont conformés clairement deux groupes et idéologies clairement définies, avec un troisième secteur entre les deux, ce sont le socialisme, le capitalisme et le tiers monde, pris la tête les deux premiers par l'éteinte Union des Républiques Socialistes Soviétiques (l'URSS) et les États-Unis de l'Amérique du Nord (USA); avec des postures clairement opposées, seulement coïncidentes dans son ambition, de contrôler tout à n'importe quel prix, durant presque quatre décennies ils ont eu au monde submergé dans l'angoisse d'une conflagration, la « guerre dénommée froide », la balance s'est inclinée vers le bloc capitaliste et a été couronnée par la « Chute du Mur de Berlin » et la Perestroïka, une « sainte alliance ultra droitière » avait triomphé; ils sont restés dans la pauvreté centièmes des pays, entre ceux-ci le nôtre, ceux qui à travers de leurs richesses naturelles, leur main d'oeuvre et leur population qu'ils ont été utilisés comme "petits lapins d'Inde", avaient financé les années de cet grand affrontement.

 

 

 

Dans les années 80's, il se documente la politique économique qui est en vigueur actuellement pour tout le monde, qui n'était pas nouveau et qui avait été un désir ardent dès les années fructifères d'Adam Smith (1723-1790), les actuelles recommandations exposées dans son moment entre les autres par le Secrétaire du Trésor des EUA James Baker (1930-), ils  proposaient :

 


 

 

 

 

Ø La Réduction de la participation des gouvernements comme des entrepreneurs et la vente d'entreprises étatiques.

 

Ø La Diminution des barrières douanières et l'établissement de marchés commerciaux communs entre les nations.

 

Ø L'Inversion de capitaux étrangers dans les secteurs réfléchis stratégiques : des télécommunications, travail des mines, pétrochimie, etc.

 

Ø L'Etablissement de la valeur réelle des monnaies nationales.

 

Ø Pousse au "néolibéralisme dénommé économique"

 

 

 

Sur le champ politique nous pouvons identifier les conditions suivantes :

 

 

 

Ø La Reconquête des territoires dominés par le bloc socialiste, exemple : la Pologne, le Salvador, le Nicaragua, l'Afghanistan, etc.

 

Ø La diffusion de la démocratie par la voie électorale presque forme unique d'organisation estimée, sauf des exceptions comptées comme le Vatican, Cuba et quelques pays africains et arabes.

 

Ø La stabilité et la paix sociale comme caractéristiques du gouvernabilité et de crédibilité des peuples, à ce sujet Enrique Correa nous dit : "Un pays est compétitif pas seulement quand il a de bons produits, sinon quand il a effectivement des conditions d'harmonie et d'équilibres internes basiques" 

 

Ø Un début de la marée des organisations et des partis politiques de droite.

 

 

 

L’intérieurement exposé nous emmène à l’actuel panorama dans lequel les gouvernements des pays comme le nôtre de plus en plus seul réalisent des actions de police, d'arbitre et d’administrateur; le reste de l'activité se fait au compte des "forces du marché", avec la critique fondée dans le sens de ce que les entrepreneurs ont établi leurs entreprises pour obtenir un bénéfice pas pour promouvoir le développement social des peuples, à la mesure qu'une entreprise obtient grands bénéfices elle s'approche au propos pour lequel a été créé, peut-être en exceptant à très peu entreprises, l'antérieur réussit aux dépens de bas salaires, diminution de prestations contractuelles, détérioration de l'environnement, de courts laps pour récupérer l'inversion, etc..

 

Par ailleurs chaque fois il est plus grand, le capital spéculatif, qui voyage d'un pays à l'autre et que n'a pas certes ni de nationalité et ne de maître avec un nom, en conséquence restent vides, les creux que les gouvernements ne satisfont pas : les nécessités qui ne se couvrent pas, en plus que les années d'exploitation et de marginalisation à qu'il s'est obstiné aux nations comme la nôtre, ont causé une ignorance et une marginalisation, lesquelles ne peuvent pas être couverts dans un court délai et les budgets publics sont infimes pour tout celui qu'il faut reconstruire, par cela les organisations internationales identifiées au modèle du néolibéralisme promeuvent depuis quelques années la participation sociale, dans toutes les enceintes, l'éducation, le développement technologique, dans l'écologie, etc.. Par exemple la Banque Interaméricaine de Développement dans l'un de ses documents établit : « Dans ce contexte, la participation citadine a une importance croissante tant dans les idées sur une fortification de la démocratie, comme dans les processus et les mécanismes qui peuvent être utilisés pour atteindre les grands buts de développement de la région ».

 

 

 

Ce n'est pas que l'on est contre la promotion de la participation sociale à partir du contexte international, sinon de son usage comme palliatif alors que dans le fond les relations inéquitables continuent à subsister entre des nations et d'une production injuste, où tout se vend et achète jusqu'à l'honneur et la dignité des personnes.

 

 

 

Comme on a pu observer dans la dernière transcription du texte du BID, discursivement est correct mais le fond et intention des groupes dans la puissance non, on peut observer que avec la formalité la participation est encouragée, pas quand on se met dans un jugement le système dans lequel il est vécu, d'un fait cela c'est la limite et trappe : la participation sociale soutient la liberté du système, mais la clandestinité, le rejet et une exclusion le procure si elle projette l'échange du système néolibéral.

 

 

 

Existent certainement des marges d'opération, de projets productifs heureux mais tout à fait significatifs comparés à un contexte national et international, en plus des implications qu'aident à porter et appliquer un modèle du macro au micro, les défis amplement étudiés et qui est motif d'autoévaluation par exemple des ONG's. Dans ces marges d'opération, ils sont, les hommes et les femmes qui sont légitimement bénéficiers avec des actions heureuses de développement et qui indépendamment de l'usage politique qui se rend aux actions de participation sociale, améliorent leurs niveaux de vie.

 


 

 

 

 

Des réflexions finales.

 

 

 

À partir de cette brève analyse les conclusions suivantes peuvent être tirées :

 

 

 

Ø La participation des individus est si diverse comme ils soient  les scènes et les circonstances dans lesquelles ils se trouvent c'est-à-dire aujourd'hui on peut parler d'une participation sociale, citadine, communautaire, individuelle, mais ces catégories ne sont pas limitantes ni exclusives, sûrement dans le court et moyen délai, nous verrons de nouvelles modalités de la participation des individus.

 

Ø · Inclusivement l'apathie, l'isolement, la non participation, conforme la scène de la participation dans ses modalités multiples.

 

Ø À travers de l'histoire on observe des laps d'un majeur  engagement des sujets pour résoudre et pour construire son présent et avenir.

 

Ø Le promoteur de la participation sociale a un compromis d'être inclus et de s'obstiner à une formation permanente.

 

Ø Les sociétés qui sont dans une formation permanente, engendrent les échanges constants, lesquels engendrent de nouvelles relations entre les individus qui doivent nécessairement être compris par la science juridique, ce qui permet le renouvellement et l'avance de la même.

 

Ø La participation des individus dans les organisations formelles et peu sérieuses leur  permet d'interagir dans les nouvelles scènes, à lesquelles ils n'auraient pas d'accès s'ils avaient une vie passive et apathique.

 

Ø L'insertion de la participation sociale dans les normativités  des pays distincts obéit aux conquêtes des peuples, bien qu'aussi en grande partie aux politiques dictées par les organismes internationaux.

 

Ø La participation sociale est dans un moment historique important, parce que d'un côté c'est une aspiration légitime des sociétés, mais par ailleurs on est poussé comme le palliatif en face des grands manques des peuples. 

 

 

 

 

 

Sources d’information

 

 

 

· Ayala Espino, José. Educación, instituciones y participación social. México. UNAM

 

· Benavides Ilizaliturri, Luis G., Hacia Nuevos Paradigmas en Educación, México. CIPAE. 1ª Edición.

 

· Rivero Heredera, José. Educación y Exclusión en América Latina, Perú. CIPAE y Tarea. 1ª Edición 2000.


 

[1] 

 

Traduction faite par Marco Quesada (Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.)

 

 Abel Pérez Rojas a fait la Maîtrise en Sciences de la Vie en Commun et de Participation Sociale et Il est Docteur en Education Permanente par le Centre International de Prospective et Hauts Études (CIPAE). C'est Le Directeur Général de Sabersinfin.com (www.sabersinfin.com)

 

 Traduction faite par Marco Quesada (Esta dirección de correo electrónico está siendo protegida contra los robots de spam. Necesita tener JavaScript habilitado para poder verlo.)

*Abel Pérez Rojas es director general de Sabersinfin.com y catedrático del Centro Internacional de Prospectiva y Altos Estudios (CIPAE)

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